A la différence de l’honneur, qui est le principe de la monarchie, et contrairement à la crainte, qui est le principe du despotisme, et à la terreur, qui est le principe de la dictature, la République a la vertu pour principe. En ce sens sa survie repose sur des consciences, qui se doivent d'être vertueuses.

La Côte d’Ivoire n’est toujours pas remise de ses maux, et sa convalescence prendra encore beaucoup de temps. La fracture nationale, ethnique et sociologique est visible, et rien n’indique qu’elle va s’atténuer et se ressouder.

Il est proprement affligeant d’écouter, de lire, et de voir, des personnes d’un niveau de culture pourtant différencié, voire même élevé, courir derrière toutes les occasions de babillages. Où la vacuité des conversations, et des écrits reste confondante et le dispute à la futilité.